Anonyme a dit… Ta peau à petits trous A force de tendresse nous nous étions fondues l'un dans l'autre Tout emmêlé Des guerrières solaires accrochées aux rivages de brumes Solitaires, se taire et se plaire Le froid qui t'obscurcit Ton ombre que je caresse Je ne pars jamais vraiment.
Anonyme a dit…
RépondreSupprimerTa peau à petits trous
A force de tendresse nous nous étions fondues l'un dans l'autre
Tout emmêlé
Des guerrières solaires accrochées aux rivages de brumes
Solitaires, se taire et se plaire
Le froid qui t'obscurcit
Ton ombre que je caresse
Je ne pars jamais vraiment.
24 décembre 2010 07:03
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