La maison est à vendre
Elle t'appartient depuis toujours
comme je t'appartiens
Tu es partie sans un mot
sans claquement de porte
Un numéro de portable
comme un nœud coulant
Je n’appellerai pas
Tu ne répondras plus
Il reste des affaires à toi
chez toi chez moi
Le chemin du bois aux chatons
Des petits chats morts pendus à un arbre
J'aurais aimé que tu ne vois pas
J'aurais aimé que tu sois là
que tu m'ouvres la porte
que tu ne fermes pas la mienne
Derrière la fenêtre
encore la pluie
et ce silence de carte postale.
Je vais te dire un truc, quelque chose, que tu sais, mais on n'oublie jamais son odeur. les cartes postales ont le parfum du souvenir, le problème c'est juste qu'on est la seule à s'en souvenir...
RépondreSupprimerBises
C'est tellement vrai!
RépondreSupprimerdure cette série Phasme ... mais belle car forte
RépondreSupprimerOui il y a parfois des retours dans le temps et des présents douloureux.
RépondreSupprimerMerci.
passage en douceur
RépondreSupprimerfraternellement